Française, née en 1953 à Ismaïlia, Egypte. De retour en France fait des études scientifiques et se dirige parallèlement vers la musique, joue du violon puis du violoncelle en orchestres, commence un travail approfondi en photographie. Tout en assurant une fonction d’enseignante, découvre au sein d’une association d’artistes les techniques d’expression plastique. Développe à partir de 1990 une facture personnelle marquée de l’empreinte du constructivisme russe, à partir de collages.
		L’évolution se tourne ensuite vers des collages de papiers vierges ou écrits, métaux, bois, matériaux divers et objets détournés. « Métaux corrodés, objets récupérés, bois couvertures et papiers, vieux écrits, photos anciennes,…ils m’intéressent pour leur histoire, leur expression symbolique, leur signification personnalisée souvent chargée de sens poétique et d’émotion. » Saint-Arroman.